
Présentation
Le Premier Contact dans Star Trek est un événement clé où l’humanité ou une autre espèce rencontre pour la première fois une civilisation extraterrestre. C’est un moment important, car il marque le début d’une relation entre deux peuples, qui peut être pacifique, neutre ou conflictuelle.
Le Premier Contact dans l’histoire de Star Trek
Le premier contact officiel des Humains avec une espèce extraterrestre a lieu le 5 avril 2063. Ce jour-là, les Vulcains détectent un vaisseau terrestre voyageant en distorsion (c’est-à-dire plus vite que la lumière), un exploit technologique qu’ils considèrent comme un critère pour établir un contact.
– L’ingénieur Zefram Cochrane teste le Phoenix, le premier vaisseau humain à distorsion.
– Les Vulcains, voyant cela, atterrissent sur Terre et rencontrent les Humains.
– Cette rencontre change l’histoire de l’humanité : elle mène à une ère de coopération interstellaire et, plus tard, à la création de la Fédération des Planètes Unies.
Pourquoi le Premier Contact est-il important ?
Technologie et exploration
– Une civilisation qui maîtrise la distorsion est prête à explorer l’espace lointain.
– Cela permet aux espèces avancées (comme les Vulcains) d’intervenir pour guider les nouvelles civilisations.
Règles et précautions
La Première Directive interdit de contacter une civilisation qui n’a pas encore atteint la distorsion, afin de ne pas perturber son développement naturel, tant qu’ une espèce est trop primitive, un contact prématuré pourrait être destructeur (comme dans certains épisodes où des civilisations moins avancées sont influencées par erreur).
Différents types de Premier Contact
– 🌿 **Pacifique** : Exemple avec les Vulcains et les Humains en 2063.
– ⚠️ **Conflit** : Premier contact difficile avec les Klingons, qui mène à des guerres.
– ❓ **Malentendus** : Certains contacts échouent car les espèces ne se comprennent pas (ex. l’épisode Darmok où une race ne parle qu’en métaphores).
Premier Contact dans la réalité ?
le Premier Contact est une vision optimiste de l’exploration spatiale. Il soulève des questions réelles :
– Que se passera-t-il si l’humanité rencontre une espèce extraterrestre ?
La rencontre avec une espèce extraterrestre est un sujet qui fascine les scientifiques, les gouvernements et le grand public depuis des décennies. Bien qu’aucun contact officiel n’ait encore eu lieu, des organisations scientifiques et certaines agences gouvernementales ont envisagé cette possibilité et établi des protocoles ou des hypothèses sur la manière dont l’humanité devrait réagir.
Un protocole en cas de contact avec une espèce extraterrestre ?
Les protocoles scientifiques et internationaux
Bien qu’il n’existe pas de plan unique et universellement accepté, plusieurs protocoles et directives ont été discutés par des organisations comme la NASA, l’ONU et le SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence). Voici les principaux :
🔹 Protocole du SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence)
– Le SETI a élaboré un protocole de détection en cas de réception d’un signal intelligent venu de l’espace.
– Les règles incluent la vérification rigoureuse des signaux, l’information des autres scientifiques et gouvernements, et une réponse coordonnée avant toute communication avec les extraterrestres.
🔹 Les directives de l’ONU
– En 1977, un groupe de l’ONU a proposé un cadre pour gérer une rencontre avec une intelligence extraterrestre.
– Le Bureau des affaires spatiales de l’ONU pourrait être impliqué en cas de contact, mais aucune mesure stricte n’a été officiellement adoptée.
🔹 Le « Protocoles de Protection Planétaire » de la NASA et d’autres agences spatiales
– Ces protocoles visent principalement à éviter la contamination biologique si nous découvrons une vie microbienne sur une autre planète (ou inversement, empêcher l’importation accidentelle de microbes extraterrestres sur Terre).
– Ils ne couvrent pas les interactions avec une civilisation avancée, mais ils montrent que des précautions scientifiques et sanitaires seraient mises en place.
Quels scénarios possibles en cas de premier contact ?
Le premier contact pourrait se produire de différentes manières, chacune ayant des implications différentes :
A. Détection d’un signal radio (Contact à distance)
➡️ Si nous recevons un signal d’une civilisation extraterrestre :
– Les scientifiques analyseraient rigoureusement les données pour confirmer qu’elles ne proviennent pas d’une source naturelle ou terrestre.
– L’information serait diffusée à la communauté scientifique et aux gouvernements.
– Une décision serait prise sur la réponse à apporter (ou non), après un débat éthique et international.
B. Rencontre physique avec des sondes ou vaisseaux extraterrestres
➡️ Si une sonde ou un vaisseau extraterrestre apparaît dans notre système solaire :
– Les agences spatiales surveilleraient de près la situation et tenteraient d’analyser l’objet à distance avant toute tentative de contact.
– Les gouvernements coordonneraient une réponse (scientifique, diplomatique ou militaire selon la situation).
– La question de savoir si nous devons interagir ou rester passifs serait cruciale.
C. Arrivée d’extraterrestres sur Terre (Contact direct)
➡️ Si des extraterrestres arrivent sur Terre de leur propre initiative :
– Ce serait un événement global, géré par les gouvernements et les institutions internationales.
– La réaction pourrait être soit scientifique et diplomatique (comme dans Premier Contact de Denis Villeneuve), soit plus prudente et militaire (comme dans Independence Day ).
– Tout dépendrait des intentions des extraterrestres : pacifiques, curieuses ou hostiles.
Quels sont les défis et dilemmes majeurs d'un premier contact ?
Défi de la communication
– Comment comprendre une espèce qui n’a peut-être pas de langage similaire au nôtre ?
– Les mathématiques, la physique et les modèles visuels pourraient être les bases d’un langage universel.
🔸 Risque de malentendus
– Un geste anodin pour nous (comme tendre la main) pourrait être perçu comme une menace par une autre espèce.
– Une simple erreur d’interprétation pourrait mener à des conflits involontaires.
🔸 Réaction du public et des gouvernements
– Une révélation d’un contact extraterrestre pourrait provoquer un mélange de curiosité, d’excitation et de peur.
– Les gouvernements voudraient contrôler l’information pour éviter des mouvements de panique.
– Les implications philosophiques et religieuses pourraient être énormes.
🔸 Sécurité et protection biologique
– Si des extraterrestres ou des microbes extraterrestres entrent en contact avec la Terre, cela pourrait entraîner des risques biologiques inconnus.
– Des protocoles de quarantaine stricte seraient mis en place.
🔸 Faut-il répondre ou rester silencieux ?
– Certains scientifiques, comme Stephen Hawking, ont mis en garde contre le fait de révéler notre présence à des civilisations plus avancées, car elles pourraient être hostiles.
– D’autres pensent que si une civilisation avancée détecte notre planète, elle sait déjà que nous existons.
Sommes-nous préparés à un premier contact ?
Actuellement, aucun plan officiel et coordonné au niveau mondial n’existe pour gérer un premier contact extraterrestre. Toutefois :
– Des projets scientifiques comme le SETI continuent de chercher des signaux.
– Certains gouvernements ont des plans de réponse aux événements imprévus, bien que les détails ne soient pas publics.
– Des discussions sont menées dans des forums scientifiques et à l’ONU, mais rien n’a été concrétisé en plan d’action universel.
Conclusion
Si l’humanité entre en contact avec une espèce extraterrestre, la manière dont nous réagirons dépendra de la nature de cette rencontre :
– Une découverte scientifique (comme un signal) serait probablement gérée par des chercheurs et des agences spatiales.
– Une rencontre directe impliquerait les gouvernements, l’ONU et la communauté internationale.
– Aucun protocole universel strict n’existe, mais plusieurs réflexions et études ont été menées.
La vérité, c’est qu’il n’existe pas de “grand protocole universel” officiellement reconnu par tous les pays pour gérer un contact direct avec une civilisation extraterrestre. En revanche, il y a plusieurs directives et recommandations mises en place par des organismes scientifiques et des institutions internationales, principalement pour le cas où l’on détecterait un signal extraterrestre plutôt qu’une rencontre physique. Voici un aperçu :
Les “protocoles” en place pour la détection d’un signal
Déclaration de principes de l’IAU/SETI
– L’Union astronomique internationale (IAU) et les chercheurs en SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence) ont rédigé la “Declaration of Principles Concerning Activities Following the Detection of Extraterrestrial Intelligence”.
– Elle recommande que si un signal est détecté, on le vérifie pour éliminer les faux positifs, puis on en informe la communauté scientifique et l’ONU.
– Le principe est de faire preuve de transparence et de coopération internationale pour confirmer la découverte.
Rôle des organisations scientifiques
– Des organismes comme l’Institut SETI coordonnent la recherche de signaux et suivent ces principes.
– On y précise que toute décision de répondre à un signal extraterrestre devrait être prise au niveau international, et pas unilatéralement par un seul pays.
L’absence d’un plan concret pour un “atterrissage
Aucun protocole mondial unique
– Il n’existe pas, à ce jour, de plan mondial détaillé si un vaisseau extraterrestre se posait soudainement sur Terre.
– Les traités actuels, comme le Traité de l’espace de 1967, se concentrent plutôt sur la non-militarisation de l’espace et la protection planétaire (éviter la contamination mutuelle avec d’éventuelles formes de vie microbiennes).
UNOOSA et ONU
– L’Office des Nations unies pour les affaires spatiales (UNOOSA) n’a pas de protocole officiel pour un contact extraterrestre avancé.
– Il existe parfois des rumeurs ou des propositions selon lesquelles l’ONU nommerait un “représentant pour un premier contact”, mais aucune disposition légale n’est en place.
Protection planétaire
– Les règles de “planetary protection” (COSPAR) visent surtout à empêcher la contamination biologique entre planètes (par ex., éviter de ramener des micro-organismes martiens sur Terre).
– Cela ne traite pas d’une espèce intelligente et organisée, mais plutôt de précautions face à d’éventuels germes extraterrestres.
Hypothèses et réflexions sur un contact direct
Rencontre pacifique ou conflit ?
– Les scénarios varient de la rencontre diplomatique (style “Premier Contact”) à des hypothèses plus pessimistes (conflit, incompréhension culturelle, etc.).
– De nombreux chercheurs et écrivains de science-fiction soulignent l’importance de la communication et de l’éthique lors d’un premier contact.
Mise en place d’un plan “au cas où”
– Certains pays ou institutions (comme la NASA ou l’ESA) pourraient avoir des plans de crise internes, sans pour autant les rendre publics.
– Les États-Unis ont par exemple un “Office of Planetary Protection”, mais ses missions se concentrent davantage sur la contamination microbienne.
Conclusion : un cadre, mais pas de plan clé en main
En cas de simple détection de signal :
– Il existe des principes SETI/IAU sur la façon de procéder (vérification, annonce internationale, discussion sur la réponse).
En cas d’arrivée physique :
– Aucune autorité mondiale n’a officiellement défini qui prendrait la parole au nom de l’humanité.
– Les décisions relèveraient probablement d’une concertation urgente entre les grandes puissances, l’ONU, et les organismes scientifiques.
En somme, il n’existe pas de plan universel gravé dans le marbre. Nous avons seulement quelques lignes directrices pour la détection et l’annonce d’un contact, et des discussions très générales sur la manière d’y répondre. Le reste dépendrait fortement du contexte, de l’intention supposée des extraterrestres, et de la coordination politique internationale au moment de l’événement.
Nous ne savons pas si un premier contact se produira un jour, mais une chose est sûre : ce serait l’un des événements les plus importants et transformateurs de l’histoire humaine. 🚀👽
– Comment éviter un conflit ou un choc culturel ?
– Devrait-on établir un contact ou observer à distance ?
Ce con10cept fait de Star Trek une série fascinante, explorant la diplomatie, la science et la philosophie à travers l’espace !
Contexte historique
Portrait de Zefram Cochrane
Zefram Cochrane est un scientifique humain légendaire, connu pour avoir inventé le moteur à distorsion.
– Zefram Cochrane serait né vers 2030 soit juste avant ou au début de la Troisième Guerre mondiale (2026-2053).
(sa date de naissance exacte varie selon les sources)
– Inventeur du moteur à distorsion : Le 5 avril 2063, il effectue le premier vol supraluminique à bord du Phoenix.
– Premier Contact avec les Vulcains : Son vol est détecté, et les Vulcains viennent à sa rencontre, marquant le début de l’ère interstellaire humaine.
– Caractère : Malgré son génie, il est initialement cynique et ne se considère pas comme un héros. Il évolue en comprenant l’importance de son invention.
Son rôle est central dans Star Trek: First Contact, où l’équipage de l’Enterprise-E voyage dans le passé pour s’assurer que l’histoire se déroule correctement face à une menace des Borgs.
Zefram Cochrane reste une figure emblématique de Star Trek, souvent cité pour avoir permis l’expansion de l’humanité dans l’espace !
Oui, selon la chronologie de Star Trek, Zefram Cochrane est né pendant ou juste avant la Troisième Guerre mondiale.
Contexte historique
La Troisième Guerre mondiale (2026-2053) est un conflit dévastateur qui a causé la mort de 600 millions de personnes et plongé l’humanité dans le chaos. Les gouvernements se sont effondrés, et de nombreuses régions du monde étaient en ruines.
– Il a grandi dans un monde instable marqué par des guerres et des pénuries.
– À la fin de la guerre, la Terre était en grande partie détruite, et la civilisation humaine tentait de se reconstruire.
Comment Cochrane a changé l’histoire ?
Malgré ce contexte difficile, Cochrane a réussi à développer le moteur à distorsion dans un ancien silo à missiles du Montana. Son vol inaugural avec le Phoenix, le 5 avril 2063, a attiré l’attention des Vulcains, qui ont initié le Premier Contact avec l’humanité. Cet événement a mis fin à l’isolement terrestre et a ouvert la voie à une ère de paix et d’exploration spatiale.
Ironie de l’histoire : L’un des pires conflits de l’humanité a finalement conduit à son plus grand bond en avant !
Cependant, on peut faire quelques suppositions basées sur le contexte historique :
– Ses parents ont peut-être été des scientifiques ou des ingénieurs, vu ses connaissances avancées en physique et en ingénierie.
Les parents de Zefram Cochrane ne sont jamais mentionnés dans Star Trek. Aucune information officielle sur sa famille, son origine précise ou son éducation n’a été révélée dans les séries ou les films.
– Il a grandi dans un monde chaotique, marqué par la guerre et la destruction, ce qui aurait pu influencer son caractère pragmatique et désillusionné.
Dans « Star Trek: First Contact », on voit que Cochrane n’est pas un idéaliste au départ : c’est un homme qui boit beaucoup, cherche à s’enrichir et ne réalise pas l’impact historique de son invention avant d’être confronté à son propre héritage.
Ses parents auraient pu être des survivants du conflit, des scientifiques cherchant à reconstruire la Terre, ou même des personnes ordinaires dont la vie a été bouleversée par la guerre. Mais rien d’officiel n’a été établi à ce sujet dans l’univers Star Trek.
Dans l’univers de Star Trek, il n’y a aucune mention d’enfants de Zefram Cochrane. Les séries et les films ne parlent pas de sa vie familiale, et il n’est jamais montré avoir des enfants.
Quelques éléments à noter :
– Cochrane dans Star Trek: First Contact : Dans ce film, Zefram Cochrane est dépeint comme un homme plus âgé, solitaire et cynique, qui semble plus préoccupé par ses inventions et ses découvertes scientifiques que par sa famille. Il n’est pas représenté comme un père ou un homme de famille.
– Aucune mention dans la chronologie de Star Trek : Dans les épisodes ou films qui parlent de lui, il n’y a aucune allusion à des descendants ou à une famille.
Le vaisseau Phoenix
Le moteur à distorsion de Zefram Cochrane n’existe pas dans la réalité. C’est une invention fictive de l’univers *Star Trek. Le moteur à distorsion est une technologie qui permet de voyager à des vitesses supérieures à celle de la lumière, une capacité cruciale pour l’exploration spatiale dans l’univers de Star Trek.
Comment fonctionne le moteur à distorsion dans *Star Trek ?
Le moteur à distorsion fonctionne en manipulant l’espace-temps autour d’un vaisseau pour le déplacer à des vitesses supraluminiques. Plutôt que de déplacer le vaisseau lui-même à une vitesse extrêmement élevée, le moteur « distord » l’espace autour du vaisseau, créant une sorte de « bulle » qui lui permet de voyager plus vite que la lumière sans violer les lois de la relativité d’Einstein. C’est une solution théorique qui contournait les limites imposées par la vitesse de la lumière, mais elle repose sur des concepts largement théoriques et non prouvés dans notre réalité.
Qu’en est-il des recherches scientifiques réelles ?
Bien qu’un tel moteur n’existe pas, il existe des théories scientifiques qui s’en inspirent :
1. Le concept de « distorsion » ou « warp drive » : Le physicien Miguel Alcubierre a proposé, en 1994, une idée théorique qui ressemble au moteur à distorsion. Son idée est connue sous le nom de « métrique d’Alcubierre ». Elle suggère qu’un vaisseau pourrait se déplacer à des vitesses supraluminiques en « distordant » l’espace-temps autour de lui, un peu comme le moteur à distorsion dans Star Trek. Cependant, cela reste très théorique et pose d’énormes défis, notamment en ce qui concerne l’énergie nécessaire.
2. Les défis scientifiques : Selon la relativité d’Einstein, rien ne peut voyager plus vite que la lumière dans le vide, car cela nécessiterait une énergie infinie. Toutefois, des chercheurs explorent des concepts comme des « trous de ver » ou des « bulle de distorsion » dans des cadres théoriques, mais ces idées sont encore loin de la réalité pratique.
Conclusion :
Bien que le moteur à distorsion de Zefram Cochrane soit une technologie fictive, il s’inspire de concepts théoriques en physique et inspire les scientifiques qui explorent des idées futuristes de voyages interstellaires. Pour l’instant, voyager plus vite que la lumière reste dans le domaine de la science-fiction !
le moteur à distorsion et le moteur warp
le moteur à distorsion et le moteur warp sont effectivement la même chose dans l’univers de Star Trek. Ces deux termes sont utilisés pour décrire le système de propulsion qui permet aux vaisseaux spatiaux de voyager à des vitesses supérieures à celle de la lumière, en distordant l’espace-temps autour du vaisseau.
Moteur à Distorsion (Warp Drive)
– Le terme « moteur à distorsion » ou warp drive » dans l’univers de Star Trek désigne cette technologie permettant aux vaisseaux spatiaux de franchir les vastes distances de l’espace en voyageant à des vitesses supraluminiques (plus rapides que la lumière).
– Dans l’univers de Star Trek, Zefram Cochrane est l’inventeur du moteur warp, et il a effectué le premier vol à distorsion avec son vaisseau, le Phoenix, en 2063.
Comment ça fonctionne dans l'univers de Star Trek
Le moteur warp fonctionne en distordant l’espace-temps autour du vaisseau. Plutôt que de faire voyager le vaisseau à des vitesses élevées à travers l’espace, le moteur crée une « bulle » qui déforme l’espace devant et derrière le vaisseau, permettant à celui-ci de se déplacer à des vitesses dépassant celle de la lumière sans violer les lois de la relativité d’Einstein.
Warp Factor
Dans Star Trek, les vitesses des vaisseaux ne sont pas mesurées en kilomètres ou en miles par seconde, mais en « facteurs de distorsion » (Warp Factor), qui sont des échelles logarithmiques qui montrent l’augmentation de la vitesse du vaisseau. Par exemple :
– Warp 1 = vitesse de la lumière
– Warp 9 = vitesses extrêmement plus rapides que la lumière, mais cette échelle est **non linéaire**, et chaque valeur plus élevée représente une vitesse bien plus grande que la précédente.
Différentes appellations
– Moteur à distorsion : Terme plus courant dans Star Trek pour désigner la technologie de propulsion supraluminique.
– Moteur warp : Un autre terme largement utilisé pour désigner le même système.
Conclusion warp factor
Les deux termes, moteur à distorsion et moteur warp, sont interchangeables et font référence à la même technologie.
Ils désignent le système qui permet aux vaisseaux de voyager à des vitesses bien supérieures à celle de la lumière, une avancée technologique fondamentale dans l’univers de Star Trek.
En 2025, le moteur à distorsion, tel qu’il est présenté dans Star Trek, n’existe toujours pas dans la réalité. Bien que la science-fiction ait popularisé l’idée de la propulsion supraluminique, la recherche scientifique actuelle sur les voyages spatiaux est encore très loin de réaliser des concepts comme le moteur à distorsion.
Cependant, il y a des avancées théoriques intéressantes et des recherches en physique qui s’inspirent de concepts similaires, bien que nous soyons encore loin de les rendre pratiques. Voici un état des lieux des recherches liées à des idées de propulsion rapide ou de distorsion de l’espace-temps :
1. Le « Warp Drive » et la théorie d’Alcubierre
– En 1994, le physicien Miguel Alcubierre a proposé une solution théorique à la relativité d’Einstein qui ressemble au concept de moteur à distorsion. Cette « métrique d’Alcubierre »envisage un vaisseau qui pourrait voyager plus vite que la lumière en « distordant » l’espace autour de lui. Cela signifie que le vaisseau lui-même ne se déplace pas directement plus vite que la lumière, mais que l’espace lui-même est déformé, permettant au vaisseau de se déplacer rapidement à travers cet espace.
– Problème majeur : L’idée repose sur des hypothèses théoriques et nécessite d’énormes quantités d’énergie négative (quasi impossible à produire avec la technologie actuelle).
2. Recherches sur les trous de ver et la propulsion supraluminique
– Les trous de ver sont des structures hypothétiques dans l’espace-temps qui pourraient, en théorie, connecter deux points distants de l’univers. Si un trou de ver pouvait être créé et stabilisé, il pourrait théoriquement permettre de voyager instantanément d’un point A à un point B.
– Cependant, cela reste très spéculatif et nécessite une compréhension bien plus avancée de la gravité quantique, un domaine de recherche qui est encore en plein développement.
3. Les recherches actuelles sur la propulsion ionique et les moteurs à plasma
Bien que ces moteurs ne soient pas de type distorsionnel, il existe des technologies réelles en développement qui permettent des vitesses bien plus élevées que celles des moteurs chimiques actuels, mais toujours bien en-deçà de la vitesse de la lumière.
– Les moteurs ioniques et moteurs à plasma sont déjà utilisés sur des missions spatiales comme les sondes interplanétaires, mais leur vitesse reste extrêmement lente comparée à ce qu’un moteur à distorsion permettrait.
4. Projet de propulsion à antimatière (à très long terme)
L’une des idées les plus ambitieuses serait l’utilisation de l’antimatière pour la propulsion. L’antimatière réagirait avec la matière normale pour libérer des quantités colossales d’énergie, potentiellement utiles pour des voyages interstellaires.
– Actuellement, produire de l’antimatière en quantité suffisante est une énorme difficulté, et les coûts sont astronomiques. De plus, il reste encore beaucoup d’incertitudes sur la manière de l’utiliser de manière contrôlée pour la propulsion.
5. Enjeux pratiques
Les principaux défis pour créer un moteur à distorsion incluent :
– La quantité d’énergie nécessaire : La distorsion de l’espace-temps pourrait demander une énergie considérable, bien au-delà de ce que nos technologies actuelles peuvent générer.
– Les matériaux : Nous n’avons pas encore de matériaux capables de résister à ces distorsions extrêmes de l’espace-temps.
En résumé :
Bien que des recherches théoriques et expérimentales intéressantes sur la propulsion rapide existent (comme le concept de moteur à distorsion d’Alcubierre et les recherches sur les trous de ver), nous sommes encore loin de créer un moteur qui nous permettrait de voyager plus vite que la lumière. Des percées majeures en physique, en énergie et en matériaux sont nécessaires avant qu’un tel moteur devienne une réalité.
Pour l’instant, le moteur à distorsion reste un concept fascinant de science-fiction, en attendant que la science trouve un moyen de le concrétiser, si tant est que ce soit possible !
Le Premier Contact a eu lieu le 5 avril 2063
Le Premier Contact a eu lieu le 5 avril 2063 après le vol inaugural du moteur à distorsion.
– Zefram Cochrane, un scientifique humain, en est l’initiateur.

Le Premier Contact avec les Vulcains
Les Vulcains détectent la signature du moteur à distorsion et viennent à la rencontre des Humains.
– Cet événement marque le début de la coopération interstellaire.

L'Impact du Premier Contact
Création et Fondation de Starfleet et de la Fédération
Début de l’exploration spatiale avancée et lointaine et unification avec certaines nouvelles espèces découvertes.
Puis accélération de l’évolution technologique et sociale de l’Humanité.
A près la proto-fédération naissance de la Fédération des Planètes Unies le 8 septembre 2161.
Premiers Contacts célèbres dans Star Trek
Premiers Contacts célèbres dans Star Trek




Chaque rencontre est unique et peut être pacifique ou conflictuelle.
Tous les Premiers Contacts ne se passent pas bien !

L'importance du Premier Contact
L’ équipage de l’Enterprise représentant la diversité galactique
Le Premier Contact est le premier pas vers une coopération interstellaire.
Star Trek nous enseigne que l’exploration et la compréhension mutuelle sont les clés de l’avenir.
Dans Star Trek , le Premier Contact fait référence au premier échange officiel entre l’humanité et une civilisation extraterrestre avancée, comme dans Star Trek: First Contact avec les Vulcains en 2063. Mais qu’en est-il des “Deuxièmes Contacts” ?
Le concept de Deuxième Contact est rarement exploré en profondeur dans les séries principales, mais il est essentiel dans la bureaucratie de la Fédération. C’est même le thème central de la série Star Trek: Lower Decks.
Qu’est-ce qu’un Deuxième Contact ?
Un Deuxième Contact dans Star Trek se produit après le Premier Contact. Son but est de :
– Établir des relations diplomatiques officielles avec la nouvelle civilisation.
– Mettre en place les infrastructures nécessaires : accords commerciaux, aide technologique, éventuellement préparation pour une adhésion à la Fédération.
– Cartographier la planète et effectuer des relevés scientifiques.
– S’assurer que les premières interactions ont été bien comprises des deux côtés.
Alors que le Premier Contact est souvent traité comme un événement historique majeur, le Deuxième Contact est moins prestigieux, mais tout aussi crucial pour la Fédération.
Exemples de Deuxièmes Contacts dans Star Trek:
Bien que peu exploré directement, il existe plusieurs exemples implicites de Deuxièmes Contacts dans Star Trek :
Les Bajorans et la Fédération (Star Trek: Deep Space Nine)
Après la fin de l’occupation cardassienne, la Fédération arrive sur Bajor pour une mission diplomatique et scientifique.
– C’est une forme de Deuxième Contact, car Bajor avait déjà eu des contacts avec la Fédération auparavant, mais cette fois-ci, l’objectif était de préparer leur intégration à la Fédération.
2. Les Malcoréens – « First Contact » (TNG, S4E15)
– L’équipage de l’Enterprise-D tente un Premier Contact avec les Malcoréens, une civilisation proche du voyage warp.
– La mission échoue, car les Malcoréens ne sont pas prêts pour ce contact.
– Un potentiel Deuxième Contact pourrait se produire plus tard, si leur société évolue et accepte l’idée d’un contact avec la Fédération.
3. Les Kazon – Voyager
– Dans Star Trek: Voyager, Janeway rencontre plusieurs fois les Kazon.
– Bien que les Kazon ne soient pas candidats à la Fédération, certaines interactions avec eux ressemblent à des Deuxièmes Contacts lorsque Voyager tente d’établir des accords et d’assurer un dialogue plus formel après une première rencontre chaotique.
Star Trek: Lower Decks et les Deuxièmes Contacts
La série animée *Star Trek: Lower Decks (2020) met en avant le travail souvent ingrat des Deuxièmes Contacts.
L’USS Cerritos, un vaisseau de classe inférieure, est spécialisé dans les missions de Deuxième Contact.
Pourquoi sont-ils si importants ?
– Après le Premier Contact, la vraie relation avec une nouvelle espèce commence.
– La bureaucratie doit être gérée : qui parle avec qui ? Comment intégrer la planète dans la sphère galactique ?
– Un Deuxième Contact mal géré peut détruire une relation fragile et ruiner un Premier Contact réussi.
Exemple dans Lower Decks
Dans l’épisode pilote, le Cerritos est envoyé sur la planète Galardonia pour finaliser le Deuxième Contact, notamment :
– Confirmer le nom officiel de la planète.
– Créer un réseau de communication stable.
– Faire des analyses scientifiques pour mieux comprendre l’écosystème local.
Conclusion : Pourquoi le Deuxième Contact est-il sous-estimé ?
Dans Star Trek, le Premier Contact est souvent spectaculaire et marque l’histoire galactique. Le Deuxième Contact, en revanche, est plus **administratif et politique, ce qui le rend moins “cinématographique”.
Mais sans Deuxième Contact :
– Il n’y aurait pas d’alliance interstellaire stable.
– La Fédération ne pourrait pas croître et intégrer de nouveaux mondes.
– Beaucoup de Premiers Contacts finiraient par être oubliés ou mal interprétés.
Le Premier Contact est l’événement historique, mais le Deuxième Contact est celui qui construit l’avenir. Plusieurs capitaines de Star Trek ont eu l’honneur d’effectuer un Premier Contact avec une espèce extraterrestre. Voici une liste des plus notables, classés par série :
1. Capitaine Jonathan Archer (ENT – 2151-2161)
Archer, capitaine de l’Enterprise NX-01, est responsable de nombreux Premiers Contacts, car il dirige la première mission d’exploration humaine à longue portée.
Premiers Contacts Notables :
– Les Andoriens (The Andorian Incident – ENT S1E7)
– Les Xindis (Espèce multiple – The Xindi Arc – ENT S3)
– Les Axanars (Fight or Flight – ENT S1E3)
– Les Sulibans (Broken Bow – ENT S1E1-2)
Archer est l’un des capitaines ayant fait le plus de Premiers Contacts. Son travail a posé les bases de ce qui deviendra la Fédération des Planètes Unies.
2. Capitaine James T. Kirk (TOS/TMP – 2265-2293)
Kirk a exploré de nombreuses nouvelles civilisations à bord de l’Enterprise NCC-1701.
Premiers Contacts Notables :
– Les Gorns (Arena – TOS S1E18)
– Les Organiens (Errand of Mercy – TOS S1E26)
– Les Kelvans ( By Any Other Name – TOS S2E22)
– Les Excalbiens (The Savage Curtain – TOS S3E22)
Kirk a souvent dû naviguer entre la diplomatie et la confrontation, parfois en défiant les directives de la Fédération.
3. Capitaine Jean-Luc Picard (TNG – 2364-2371)
Picard, capitaine de l’Enterprise NCC-1701-D, a joué un rôle majeur dans plusieurs Premiers Contacts diplomatiques.
Premiers Contacts Notables :
– Les Borgs (Q Who – TNG S2E16)
– Les Tamariens (Darmok – TNG S5E2)
– Les Malcoréens (First Contact – TNG S4E15)
– Les Mintakans (Who Watches the Watchers – TNG S3E4)
Picard est un capitaine diplomate, cherchant toujours une approche pacifique et intellectuelle pour établir le Premier Contact.
4. Capitaine Benjamin Sisko (DS9 – 2369-2375)
Sisko, commandant de Deep Space Nine, a été impliqué dans des Premiers Contacts bien que DS9 soit une station fixe.
Premiers Contacts Notables :
– Les Prophètes du Vortex Bajoran ( Emissary – DS9 S1E1-2)
– Les Wadi (Move Along Home – DS9 S1E10)
– Les Jem’Hadar (The Jem’Hadar – DS9 S2E26)
Sisko a eu un Premier Contact spirituel avec les Prophètes, qui l’ont vu comme leur Émissaire. Il a aussi été l’un des premiers à rencontrer les Jem’Hadar, initiant la guerre du Dominion.
5. Capitaine Kathryn Janeway (VOY – 2371-2378)
Janeway, capitaine du Voyager, a établi des Premiers Contacts dans le Quadrant Delta.
Premiers Contacts Notables :
– Les Ocampas (Caretaker – VOY S1E1-2)
– Les Hirogens (Message in a Bottle – VOY S4E14)
– Les Vaadwaur (Dragon’s Teeth – VOY S6E7)
– Les 8472 (Scorpion – VOY S3E26/S4E1)
Bloquée dans le Quadrant Delta, chaque rencontre est un Premier Contact pour Janeway, qui doit naviguer entre diplomatie et survie.
6. Capitaine Christopher Pike (DIS/SNW – 2250s)
Pike, à bord de l’Enterprise NCC-1701, a fait des Premiers Contacts dans Star Trek: Strange New Worlds
Premiers Contacts Notables :
– Les Kileans (Children of the Comet – SNW S1E2)
– Les Shephards (Children of the Comet – SNW S1E2)
– Une civilisation pré-warp (Strange New Worlds – SNW S1E1)
Pike suit une philosophie plus souple de la Prime Directive, n’hésitant pas à intervenir pour aider.
7. Capitaine Michael Burnham (DIS – 2256, 3188-)
Burnham, dans Star Trek: Discovery, a fait des Premiers Contacts à travers plusieurs époques.
Premiers Contacts Notables :
– Les Kelpiens (pré-premier contact officiel) (The Brightest Star – Short Treks)
– Les Xaheans ( Such Sweet Sorrow – DIS S2E13-14)
– Les espèces inconnues de 3189 (10-C) (Species 10-C* – DIS S4E12-13)
Burnham a fait un Premier Contact trans-temporel avec une espèce post-warp totalement étrangère aux concepts humanoïdes.
Conclusion
Le Premier Contact est un moment critique dans Star Trek, et chaque capitaine l’aborde différemment :
– Archer → Explorateur pré-Fédération
– Kirk → Aventurier et stratège
– Picard → Diplomate et érudit
– Sisko → Messager spirituel et militaire
– Janeway → Survivante et négociatrice
– Pike → Leader bienveillant
– Burnham → Exploratrice de nouvelles époques
Chaque Premier Contact est un tournant dans l’histoire galactique, définissant le futur des relations interstellaires.