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Préambule
(Projet de principes universels pour la survie et l’harmonie de la vie sur Terre)
Nous, peuples de la Terre, reconnaissons que notre planète est un organisme vivant dont nous dépendons totalement. La préserver n’est pas une option, mais une condition de notre survie et de notre dignité. Inspirés par les leçons de l’histoire, par la science et par la conscience éthique, nous proclamons la présente Charte Planétaire Verte.
Article 1 – La Terre, organisme vivant
La Terre (Gaïa) est reconnue comme un être vivant abritant la biodiversité et l’humanité. Sa préservation prime sur tout intérêt particulier.
Article 2 – Primauté de la vie
Toute décision politique, économique ou technologique doit être évaluée à l’aune de son impact sur la vie : humaine, animale, végétale et microbienne.
Article 3 – Ressources comme biens communs
L’air, l’eau, les sols, les forêts, les océans et le climat sont des biens communs universels. Ils ne peuvent être appropriés, exploités ou détruits au détriment des générations présentes et futures.
Article 4 – Économie régénérative
Les modèles économiques doivent viser la régénération des écosystèmes. Toute ressource prélevée doit être compensée par une action qui répare ou restaure la nature.
Article 5 – Justice écologique mondiale
Chaque pays est responsable de son impact, mais les nations historiquement les plus polluantes ont un devoir renforcé de réparation. La solidarité planétaire est la règle.
Article 6 – Éducation planétaire
L’éducation universelle doit inclure la conscience écologique : apprendre à chaque citoyen que protéger Gaïa, c’est protéger sa propre vie et celle des générations futures.
Article 7 – Gouvernance mondiale
Une Assemblée planétaire de la Terre (sous l’égide de l’ONU ou d’une instance dédiée) veille au respect de cette charte, avec un pouvoir de sanction contre les violations majeures.
Article 8 – Droit de la nature
Les écosystèmes, espèces et cycles naturels possèdent des droits inaliénables : exister, se régénérer, et évoluer sans destruction systématique par l’homme.
Conclusion
Cette Charte Planétaire Verte est une Première Directive terrestre : elle établit que la survie collective prime sur les intérêts particuliers. Comme dans Star Trek, elle imagine une humanité capable de dépasser ses divisions pour vivre en harmonie avec son monde.