⏱ Temps de lecture estimé : 3 minutes

Résumé :
Les Klingons attaquent et la Fédération ont été forcés ! Et les êtres mystérieux qui vivent sur Organia.
Les Organiens, instaure un cessez-le-feu cf :
(épisode « les arbitres du cosmos » 1×26) les klingons attaquent subitement.
L’entreprise est bien loin du front, et se dit qu’il n’y a qu’une chose à faire : retourner sur Organia pour comprendre pourquoi ceux-ci laissent faire les Klingons.
Les laissant faire … heureusement, l’ingénieur Scott n’est jamais à court d’idées : Scott profite de l’occasion afin tester une téléportation à longue distance, l’expérience échoue, il envoie une réplique de Spock sur la planète envahie. Mais rien n’est simple, et Jim Kirk se retrouve face à face avec DEUX Spock !
Lequel est le bon ?
Maintenant que faire de ces deux spock ?
Lequel doit mourir ?
Pourquoi pour trouver le bon Spock rien ne vaut une bonne soupe aux légumes ?
Mon avis :
Un bon livre qui m’à plus avec pas mal d’humour, malgré le titre où l’on découvre des notions intéressantes : voir plus bas
ON y apprend pas mal de choses contrairement à d’autres romans Star Trek .
Je le recommande vivement donc
Explications :
Les Organiens : être de pur énergie vivant sur la planète Organia
Le solipsisme : (latin solus, seul, et ipse, même)
Conception selon laquelle le moi, avec ses sensations et ses sentiments, constitue la seule réalité existante dont on soit sûr.
2Le solipsisme représente l’attitude d’une minorité des écoles de pensées bouddhiques. Il s’agit d’une théorie qui ne découle pas nécessairement de la voie du milieu, et qui peut même paraître opposée àl’idée de saṃsāra (les mondes dans lesquels les êtres évoluent), à la cosmologie bouddhique, voire à
l’éthique qui se dégage tant de cette représentation de l’univers que de la causalité exprimée par la loi du karma.
Guillaume d’Ockham:
Guillaume d’Ockham défend une philosophie nominaliste pour laquelle les Universaux (concepts
universels et abstraits comme humanité, animal, beauté…), ne sont que des mots, des termes
conventionnels, des représentations dont il récuse le réalisme, la réalité substantielle. Pour lui, la connaissance s’appuie sur les choses sensibles et singulières, l’utilisation des universaux de la métaphysique n’est pas nécessaire. Les universaux sont de simples mots pour permettre à la pensée
de se constituer.
Il en découle le fameux principe, dit du rasoir d’Ockham, selon lequel il ne faut pas multiplier les entités sans nécessité (entia non sunt multiplicanda praeter necessitatem, littéralement : « les choses essentielles ne doivent pas être multipliées sans nécessité »).
Ce principe de parcimonie de la pensée, de l’élégance des solutions est un des principes de la logique et de la science moderne et fait de Guillaume d’Ockham un précurseur de l’empirisme anglais.
Pour venir discuter de ce livre voici le lien discord
